Martínez Cuadrado, MiguelUniversidad Carlos III de Madrid. Instituto de Política y GobernanzaUniversidad Carlos III de Madrid. Departamento de Ciencia Política y Sociología2010-09-142010-09-1420101698-482Xhttps://hdl.handle.net/10016/9259Le Traité de Lisbonne ne résoudra pas la crise institutionnelle à partir de la position réformiste émanant du Traité de Maastricht. Les institutions, les relations institutionnelles, la formation d’un Parlemrnt excessivement nombreux, auquel on critique une tendance à l’excès de régulation , menacent la solidité du système fédératif et sa cohérence dans l’ensemble des vingt sept pays. Les problèmes institutionnels ne trouveront pas de solution adéquate devant les citoyens, tant que les partis nationaux refuseront de conformer un système européen de partis politiques et accepter l’élection au suffrage universel de la présidence de l’Union. Le système fédératif original de l’Union ne pourra se développer sans ces prémisses qui doivent réduire le leadership des états membres à sa véritable dimension.application/octet-streamapplication/octet-streamapplication/pdfspaAtribución-NoComercial-SinDerivadas 3.0 EspañaUnión EuropeaAcción Jean MonnetBoloniaEuropa rehace su historia: 1948-2009. Sesenta años de construcción europea comúnworking paperPolíticaopen access