dc.contributor.author | Carmona, Juan![]() |
dc.date.accessioned | 2011-06-10T14:43:18Z |
dc.date.available | 2011-06-10T14:43:18Z |
dc.date.issued | 2009 |
dc.identifier.bibliographicCitation | Vivier, Nadine(ed.). Elites et progrès agricole. Rennes: PUR, 2009, pp. 259-277 |
dc.identifier.issn | 9782753508255 |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/10016/11458 |
dc.description.abstract | Dans ce chapitre, nous envisageons la relation entre la grande aristocratie foncière et le progrès agricole. L'historiographie a mis souvent en relief le fait que la grande noblesse est parvenue à conserver son patrimoine lors de la révolution libérale du deuxième quart du XIXe siècle et bien souvent à l'augmenter au long du siècle. En 1875, la plupart des grands contribuables fonciers font encore partie de la vieille aristocratie et ceci encore en 1932, bien que leur nombre ait fortement diminué par les expropriations. lIs réussissent a maintenir, surtout dans le sud, une entreprise importante. Nous montrons cependant que leurs mentalités ne sont pas forcément hostiles au progrès agricole. Par contre la grande taille, et surtout la dispersion de leurs patrimoines expliquent les difficultés d'organisation et de gestion |
dc.format.mimetype | application/pdf |
dc.language.iso | fra |
dc.publisher | Presses universitaires de Rennes |
dc.rights | ©Presses universitaires de Rennes |
dc.rights.uri | http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/3.0/es/ |
dc.subject.other | Reforma agraria |
dc.subject.other | República española |
dc.subject.other | Aristocracia |
dc.subject.other | España |
dc.title | Aristocratie foncière et progrès agricole en Espagne au XIXe siècle |
dc.type | bookPart |
dc.subject.eciencia | Economía |
dc.subject.eciencia | Historia |
dc.rights.accessRights | openAccess |
dc.identifier.publicationfirstpage | 259 |
dc.identifier.publicationlastpage | 277 |
dc.identifier.publicationtitle | Elites et progrès agricole |
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